Contrées sauvages vous propose un séjour de 6 jours sur l’île paradisiaque de Sainte Marie. Sainte-Marie est une île authentique encore préservée du tourisme de masse. Elle est réputée pour ses belles plages, ses petits villages camouflés dans la végétation luxuriante et ses habitants souriants et accueillants.
Les véhicules peu nombreux et la faible infrastructure routière donnent à cette île une atmosphère de « bout du monde ». Snorkelling possible dans les récifs coralliens pour admirer les couleurs des coraux et des poissons. Belles plongées bouteille aussi sur les épaves.
Ne pas manquer l’ile aux forbans et le cimetière des pirates (l’île était un repère de pirates au 18 ème siècle).
Pour les ornithologues, la forêt de ravinala de Masiakakoho est un site fréquenté par de nombreux oiseaux. De juin à Septembre, les baleines à bosse remontent de l’Antarctique pour se reproduire et mettre bas dans cet environnement marin remarquable. Il est possible alors d’admirer ces cétacés aux grandes nageoires pectorales blanches. La baleine à bosse est l’une des plus belles espèces de baleines et est célèbre pour ses danses et sauts hors de l’eau.

Stéphane Kefferstein, fondateur de Contrées Sauvages a participé à la protection des baleines à bosse à Madagascar et à la promotion du Whale Watching. Il a ainsi créé, à Sainte Marie, l’association Megaptera Madagascar, avec l’appui de l’association Megaptera Mayotte, de scientifiques, de vétérinaires, du groupement des opérateurs touristiques de Sainte Marie et de Francois Xavier Mayer, directeur du Princesse Bora Lodge. A cet effet, un code de bonne conduite de l’observation des baleines a été établi et des formations ont eu lieu. L’association a également favorisé la promotion de l’observation des baleines pour générer des revenus au profit des opérateurs et des communautés locales. L’association Cetamada a ensuite pris le relais. Un travail scientifique a permis de recenser la population de baleines à bosse, de mieux comprendre leurs migrations et
les raisons de leur présence à Sainte Marie. Des volontaires et des scientifiques du monde entier viennent pour étudier ces cétacés. Cetamada permet aussi aux scientifiques malgaches de participer davantage à l’étude et à la protection des baleines.